LAND ROVER DEFEDER 90 TD4 , 2013.
CHF 29'800
LAND ROVER DEFEDER 90 TD4 , 2013 Jeep land rover défendre 90 td4 Roues motrices 4 roues motrices « Les modifications apportées au Defender 2007 sont probablement les plus importantes depuis sa sortie en 1948 ! », déclare le responsable de la gamme Land Rover à la presse lors de la présentation du ?nouveau? Defender. Il faut dire qu’en 60 ans, la ligne du 4×4 anglais n’a que très peu évolué. La dernière intervention date de 1998 avec l’arrivée d’un nouveau 5-cylindres turbo Diesel qui pouvait être couplé en même temps à l’ABS et à l’anti-patinage. Une petite révolution qui s’accompagnait -luxe suprême- d’une option climatisation ! Aujourd’hui, les ingénieurs se trouvent dans une autre situation : il faut remplacer le TD5 qui ne répond plus aux normes anti-pollution en vigueur. Et pour ce faire, rien de mieux qu’un bloc d’utilitaire, en l’occurrence celui du Ford Transit. Un diesel d’utilitaire Avec ce 4-cylindres 2.4 de 122 ch, le Defender perd un cylindre mais gagne en contre-partie une boîte de vitesse à 6 rapports (contre 5 auparavant). Côté bruit, le conducteur d’un SUV moderne sera surpris d’entendre aussi bien la mécanique, mais force est de constater que l’ambiance sonore est -malgré tout- bien mieux maîtrisée qu’auparavant. La différence est également sensible sur autoroute grâce à l’apport du 6ème rapport : les grognements du bloc baissent sensiblement tandis que la vitesse limitée à seulement 130 km/h permet de discuter sans hausser le ton, ou d’écouter son autoradio en roulant, contrairement à l’ancienne version où il fallait obligatoirement s’arrêter pour profiter pleinement de la musique. Un confort accru Heureusement, cette fois-ci, le bloc n’est pas le seul à évoluer. L’adoption de nouveaux sièges plus confortables permet désormais d’envisager sereinement les parcours autoroutiers, sans être trop fatigué à l’arrivée. Mais attention, il n’y a pas de miracle pour autant : le Defender reste un des rares 4×4 pur et dur disponible sur le marché (deux ponts rigides et réducteur). A ce titre, s’il ne rechigne pas à poser de temps en temps ses gros pneus sur le bitume, il préfère patauger dans la boue, tracter de lourdes charges ou emmener des Occidentaux en mal d’aventure au bout du monde ! Mais comme Land Rover fait généralement bien les choses, il a su nous trouver un parcours d’essai adéquat sans aller forcément aux Antipodes. LAND ROVER DEFEDER 90 TD4 , 2013